Le soir au coin de la radio, je laisse aller ma main dans de drôle de tracés urbain, comme ça sans crayonnés, en direct pour voir...
Pour voir les volumes apparaître, pour voir la profondeur se créer, avec le plaisir de découvrir des recoins, des ruelles, des pays et des espaces insoupçonnés...
Des chemins du trait, qui pourraient nous emmener de Mœbius à Vieira da Silva.